Thomas, deviens un homme de foi !

©2023-04-14 – Albert Leclercq – Thomas, deviens un homme de foi ! –

INTRODUCTION

Je vous invite à relire le texte qui nous relate la rencontre de Thomas avec Jésus après la résurrection. Nous allons découvrir qu’il n’est pas celui que le bouche à oreille nous a transmis !

« Thomas, appelé Didyme, l’un des douze, n’était pas avec eux lorsque Jésus vint. Les autres disciples lui dirent donc : Nous avons vu le Seigneur. Mais il leur dit : Si je ne vois dans ses mains la marque des clous, et si je ne mets mon doigt dans la marque des clous, et si je ne mets ma main dans son côté, je ne croirai point. Huit jours après, les disciples de Jésus étaient de nouveau dans la maison, et Thomas se trouvait avec eux. Jésus vint, les portes étant fermées, se présenta au milieu d’eux, et dit : La paix soit avec vous ! Puis il dit à Thomas : Avance ici ton doigt, et regarde mes mains ; avance aussi ta main, et mets-la dans mon côté ; et ne sois pas incrédule, mais crois. Thomas lui répondit: Mon Seigneur et mon Dieu ! Jésus lui dit : Parce que tu m’as vu, tu as cru. Heureux ceux qui n’ont pas vu, et qui ont cru ! » (Jn 20:24-29).

Thomas, deviens un homme de foi

J’explique le choix de mon titre : quand Jésus reprend Thomas, on pourrait traduire l’expression par : « Ne deviens pas un incrédule » ou « Ne sois pas un incroyant, deviens un homme de foi ! » (NBS) ! Comment le devenir ? Pour cela Jésus le fait passer par 5 étapes !

La renommée de Thomas est universelle ! Elle lui pose des problèmes et souvent on ne voit en lui que le MODÈLE de l’incrédule alors que la Bible donne un regard beaucoup plus nuancée de cet apôtre ! Cette renommée semble même effacer tous les bons côtés de cet apôtre que l’histoire nous dit avoir servi le Christ avec fidélité et même en acceptant de mourir en martyr après avoir été l’apôtre de l’Inde et de la Chine, d’après les premiers documents chrétiens.

  1. L’absence de Thomas

 « Thomas n’était pas avec eux lorsque Jésus vint. » Thomas, est absent lors de la première apparition.

Thomas, surnommé le Jumeau, fut, de tous les apôtres, celui qui eut le plus de peine à croire que Jésus soit ressuscité.

Il est bon de rappeler que les autres apôtres n’ont pas accepté la résurrection avec facilité. Alors qu’ils avaient entendus le témoignage des femmes, eux aussi ont douté, ils ne savaient pas quoi penser car « Ils tinrent ces discours pour des rêveries, et ils ne crurent pas ces femmes. » (Luc 24 :11).

Sur ce, Pierre et Jean vont aller à la tombe. Pierre rentre dans la tombe en premier et ensuite Jean le suit. « Alors l’autre disciple, qui était arrivé le premier au sépulcre, entra aussi ; et il vit, et il crut. » (Jn 20:8).

Thomas n’est donc pas le seul à n’avoir pas cru ! Thomas n’est pas le seul à devoir « voir » pour « croire ». Tous n’ont pas cru aux paroles de Jésus qui par trois fois à annoncer sa résurrection. Mais cela n’a pas suffi. Tous ont eu besoin de voir Jésus. C’est pourquoi le récit de Thomas a une place importante dans la Bible car il nous est destiné d’une manière toute particulière.

Thomas, quant à lui, a été absent lors de la première visite de Jésus. Cette absence entraîne chez lui une attitude de retrait, de résistance par rapport aux autres. Alors que tous les autres sont maintenant convaincus, il reste seul ! Seul avec ses doutes, seul avec son manque de conviction et d’incompréhension !

Aujourd’hui, plus que jamais l’église est atteinte de cette maladie !

  • Culture du « connecter » sans vraie relation
  • Culture du doute
  • Culture de l’individualisme, « ce que je vis je le garde pour moi ! »
  • Crainte de parler des doutes dans nos églises sans perturber les convenances des croyants.

Thomas : l’homme dont le cœur s’ouvre difficilement à la foi ne trouve pas sa place parmi les autres apôtres, il avait quitté Jérusalem dès la nuit où Jésus fut livré.

Thomas : le différent, est souvent présenté comme le disciple plus sombre, avec un esprit critique plus prononcé, il contraste des autres et pourtant, il nous ressemble tellement. Il se révèle d’abord fougueux et généreux lorsqu’il réagit aux paroles de Jésus qui annonce sa mort : « Allons, nous aussi, et nous mourrons avec lui » (Jn 11:16).On perçoit aussi son esprit critique dans le dialogue qui suit la Cène. À Jésus qui dit « Quant au lieu où je vais, vous en savez le chemin » (Jn 14:4) », Thomas répond avec vivacité : « Seigneur, nous ne savons même pas où tu vas. Comment en connaîtrions-nous le chemin ? ». Thomas semble absent depuis longtemps, un peu à côté de la réalité de ce qui se passe vraiment !

Et pourtant son expérience a beaucoup à nous apprendre sur la manière dont Jésus s’y prend avec les « autres ».

2. Thomas exprime son doute

Sans savoir ce que font les disciples durant cette première semaine, les Écritures nous parlent de ce deuxième dimanche ; les disciples seraient restés huit jours à Jérusalem avant de retourner dans leurs villages.

Alors que les autres apôtres disent avec la joie : « Nous avons vu le Seigneur » ! Thomas reste obstiné dans son doute, emmuré dans ses convictions. Il l’exprime par des termes énergiques et répétés. Thomas aboutit à cette conclusion : je ne croirai point. Il y a, dans le grec, une double négation qui signifie : je ne croirai certainement pas.

« Mais il leur dit : Si je ne vois dans ses mains la marque des clous, et si je ne mets mon doigt dans la marque des clous, et si je ne mets ma main dans son côté, je ne croirai point. » (Jn 20:25)

  1. Est-il normal, pour un chrétien, de douter ?

Souvent nous confondons le doute et l’incrédulité ! Ce qui entraîne la condamnation de notre conscience et le comportement des autres, … parce qu’un chrétien ne doit pas douter. Remarquons que Jésus répond aux questions suscitées par les doutes de Thomas, il ne les enferme pas dans le déni ! Tout chrétien passe par des périodes de questionnement.

  • Qu’est-ce que le doute ?

La Bible répond de façon équilibrée à cette question. En fait, la compréhension qu’elle offre du doute est si équilibrée, si nuancée, qu’elle en est absolument unique. En effet, face au doute, les gens optent généralement pour une de ces deux attitudes bien contraires : soit ils doutent de tout, soit ils ne doutent de rien !

Dans la société en général, les gens doutent de tout, par principe : « On ne peut être sûrs de rien, » pensent-ils. Nous vivons à « l’ère du scepticisme », où tous les points de vue se valent (à chacun sa vérité!) et où la seule certitude que nous puissions avoir, c’est qu’il n’y a pas de certitude ! Voilà quel est l’esprit de notre temps : on doute de tout !

Dans l’église, en revanche, souvent le moindre doute émis est très mal perçu : en surface, on ne doute de rien. N’avons-nous jamais entendu quelqu’un poser une vraie question (dans le cadre d’une étude biblique ou du groupe de jeunes d’une église), émettre un doute sincère, à propos de la Bible ou de ce qui était enseigné, pour s’entendre dire : « Pourquoi est-ce que tu doutes ? Crois seulement. Ne réfléchis pas trop. Il faut avoir la foi ! »

  • Des exemples

1. Jésus et Jean-Baptiste 

En Matthieu 11, Jean-Baptiste croupit en prison, dans l’attente d’être exécuté, quand soudain une pensée lui traverse l’esprit : Et s’il s’était trompé ? On imagine combien cette pensée devait lui être insoutenable. Il envoie donc ses disciples demander à Jésus : « Es-tu celui qui doit venir ou devons-nous en attendre un autre ? » (v. 3)

La réponse de Jésus aux doutes de Jean-Baptiste est saisissante ! En effet, Jésus ne dit pas : « Comment oses-tu douter ? Après tout ce que Dieu t’a révélé de moi ! » Non, Jésus répond plutôt aux envoyés : « Allez annoncer à Jean ce que vous entendez et voyez : les boiteux marchent, les lépreux sont purifiés, les sourds entendent… » (v. 4). D’une part, donc, Jésus comprend la question de Jean-Baptiste, il entend ses doutes et il les reçoit.

Mais d’autre part, Jésus ne cautionne pas le doute, ni ne l’encourage. En effet, il ne se contente pas d’entendre la question de Jean-Baptiste, il y répond ! Il lui dit en quelque sorte : « Regarde Jean ! Ouvre les yeux et réfléchis : les boiteux marchent, les sourds entendent ! Ne sont-ce pas là des preuves que je suis celui qui doit venir ? ». N’oublions pas que Jésus a parlé de Jean-Baptiste comme le plus grand des prophètes de l’ancienne alliance !

2. Marie et Zacharie

La raison pour laquelle Jésus est si nuancé, c’est parce que le doute peut être le signe d’un esprit ouvert, comme il peut être le signe d’un esprit fermé ; il peut être une marque de foi (une foi vacillante, certes, mais une marque de foi quand même!), comme il peut être une marque d’incrédulité.

Le meilleur exemple de cela se trouve en Luc 1. Ce chapitre nous rapporte deux récits quasiment identiques : l’annonce, par un ange, de la naissance de Jean à son père, Zacharie (v. 5-25) ; et celle de Jésus à sa mère, Marie (v. 26-38).

L’ange Gabriel se présente d’abord à Zacharie et lui annonce quelque chose d’improbable : sa femme Élisabeth, qui est stérile et très âgée aura un fils. Comment Zacharie réagit-il ? Il doute : « Comment saurais-je que cela est vrai ? » demande-t-il au v. 18. Et que fait alors l’ange Gabriel ? Il le condamne, en disant : « Voici : tu seras muet, et tu ne pourras parler jusqu’au jour où cela se produira, parce que tu n’as pas cru à mes paroles qui s’accompliront en leur temps » (v. 20). L’ange Gabriel condamne le doute de Zacharie !

Or, peu de temps après, le même ange se présente à Marie et lui annonce quelque chose d’impossible : elle qui est vierge va donner naissance au Fils de Dieu. Comment Marie réagit-elle ? Elle doute, elle aussi : « Marie dit à l’ange : Comment cela se produira-t-il, puisque je ne connais pas d’homme ? » (V. 34). Mais que fait l’ange Gabriel cette fois-ci ? Est-ce qu’il la punit, est-ce qu’il la condamne, comme Zacharie ? Non ! Il la récompense. Il lui dit, en quelque sorte : « Marie, écoute, voilà comment ça va se passer : le Saint-Esprit va venir sur toi ! Et fais-moi confiance, car rien n’est impossible à Dieu » (v. 35-37) ! L’ange Gabriel récompense le doute de Marie !

Pourquoi cette différence de traitement ? Simplement parce que le doute peut être le signe d’un esprit fermé comme il peut être le signe d’un esprit ouvert.

Qu’est-ce que le doute ? Douter, c’est se poser des questions ou exprimer des incertitudes, mais avec pour point de départ la foi. Vous croyez, mais vous avez des difficultés à croire, ou vous avez des questions quant à l’objet de votre foi. C’est pourquoi, le doute n’est pas forcément l’expression de notre péché, c’est parfois juste l’expression de notre finitude. Nous sommes des êtres humains, faibles et fragiles.

Autres citations ;

  • Charles Spurgeon : « Je pense que lorsqu’un homme dit : ‘Je ne doute jamais’, il est temps pour nous de douter de lui »
  • Jean Calvin : « Sûrement, pendant que nous enseignons que la foi doit être certaine et assurée, nous ne pouvons imaginer aucune certitude qui ne soit teintée de doute, ni une assurance qui ne soit assaillie par aucune angoisse. »

Nous allons voir que le doute de Thomas n’est pas désespéré, car il a pour objectif de connaître la vérité, pour que la conviction s’affermisse et ainsi de prendre une décision finale en faveur de Jésus ! Sa fuite au jour de sa mort démontre qu’il avait été blessé par la mort de Christ plus qu’on ne le pense. Il veut s’engager, mais cette fois-ci en pleine connaissance de cause !

3. Thomas et les disciples manquent de paix

La première parole de Jésus aux disciples est riche en sens : Les disciples sont aussi enfermés dans leurs tensions internes entre ceux qui croient et ceux qui ont des doutes. « Jésus vint, les portes étant fermées, se présenta au milieu d’eux, et dit : La paix soit avec vous ! ». Par ses mots il souligne que le groupe doit passer le cap de ces différences et s’attendre les uns les autres dans l’amour et le respect.

Lorsque nous passons par le doute, il n’est pas possible de connaître la paix de Dieu, c’est pour cela qu’il est nécessaire que Jésus règle le problème du passage à vide de Thomas, car quand « un membre souffre, tous les membres souffrent ».

C’est pour mettre fin à cette division que Jésus, lors de cette nouvelle apparition, doit leur dire par deux fois : « La paix soit avec vous ! » (Jn 20:19 et 21), puis leur communiquer son Esprit Saint qui sera le garant de leur unité retrouvée. C’est l’Esprit Saint répandu sur les disciples qui leur permettra de n’avoir « qu’un seul cœur et qu’une seule âme », de « remettre les péchés » (Jn 20, 23), et de « rendre témoignage de la résurrection du Seigneur Jésus » (Ac 4, 33). C’est l’Esprit Saint qui leur donnera de former ensemble une Église selon le cœur de Dieu, capable d’évangéliser le monde entier par le témoignage de l’amour fraternel et d’une paix qui vient d’en-haut.

4. Thomas rencontre Jésus

« Puis il dit à Thomas : avance ici ton doigt, et regarde mes mains ; avance aussi ta main, et mets-la dans mon côté ; et ne sois pas incrédule, mais crois ».

Dès que le Seigneur a prononcé sur les disciples sa douce parole de paix, il s’adresse directement à Thomas. Il connaissait son état, car « il savait par lui-même ce qui est dans l’homme » (Jn 2:25). Il condescend à donner à ce disciple toutes les preuves qu’il avait demandées.

Commentaire de Bengel; « Si un pharisien avait posé ces conditions comme Thomas, il n’aurait rien obtenu ; mais à un disciple, jusqu’ici éprouvé, rien n’est refusé ».

Toutefois, en répétant à dessein les paroles de Thomas, Jésus lui fait sentir son tort et le couvre de confusion. Il conclut par ce sérieux avertissement : ne deviens pas incrédule, mais croyant. Il ne faut donc pas traduire avec toutes nos versions : ne sois pas. « Par l’expression : ne deviens pas, Jésus lui fait sentir dans quelle position critique il se trouve actuellement, à ce point où se séparent les deux routes : celle de l’incrédulité décidée et celle de la foi parfaite » Godet.

Lorsque Jésus s’approche de Thomas, il l’invite à entrer dans une relation particulière avec Lui, à trouver non seulement les réponses à ses questions, mais Jésus lui propose de pénétrer jusqu’au profond de son cœur et de se révéler à lui à salut. Thomas ne sera plus jamais le même. Tout son être en est chambouler. De cette épreuve de doute en sortira un nouvel homme : THOMAS l’homme de foi !

En se présentant à lui et en dévoilant les paroles qu’il avait prononcées devant les autres apôtres, Jésus vient renverser tout raisonnement contraire (1 Cor 3) et les soumet à sa puissance ! Le miracle a lieu !

5. Thomas devient le premier

Après avoir été le dernier à croire la résurrection du Sauveur, Thomas devient le premier à l’appeler d’un nom qu’aucun autre peut-être n’avait encore prononcé : Mon Seigneur et mon Dieu ! Dans l’original, l’article précède chacun de ces deux noms et les distingue l’un de l’autre ; puis ce mot : mon, deux fois répété, donne encore plus d’intimité et d’amour à ce cri de la foi et de l’adoration, qui s’élève du fond de l’âme de Thomas. 

  1. Mon Seigneur : Notons que jusque-là les autres ont parlé « du » Seigneur ressuscité ! Pour la première fois Thomas, le proclame que LE Seigneur de SA vie !
  2. Mon Dieu : en répétant le prénom une deuxième fois, il souligne bien qu’il proclame haut et fort la divinité de Jésus ! C’est d’ailleurs un passage clé de l’Evangile de Jean. Depuis les premiers versets où il est dit que « la Parole était Dieu » et la déclaration de Thomas : la boucle est bouclée. Jean peut finir son évangile par cette proclamation audacieuse ! JESUS EST DIEU !

Une profonde transformation vient de se passer dans le cœur de Thomas ! Il n’est plus le même ! Le disciple renfermé, avec ses pensées figées fait place à un Thomas débordant de foi et de reconnaissance ! Il fait une proclamation qui résonne dans toute la création qui rejoint les paroles des anges : Il est vivant !

Thomas l’Apôtre ne voit pas seulement un homme ressuscité, il confesse un homme qui est Dieu. Thomas d’Aquin conclut : « En disant « Mon Seigneur », Thomas confesse la vérité de l’humanité de Jésus, en disant « Mon Dieu », Thomas confesse la vérité de sa divinité. »

6. Heureux ceux qui ont cru sans avoir vu

« Jésus lui dit : Parce que tu m’as vu, tu as cru. Heureux ceux qui n’ont pas vu, et qui ont cru ! » (Jn 20:29)

Ce sixième principe, ne concerne plus Thomas ou les 10 autres apôtres qui ont besoin de le voir pour croire. Il nous concerne tous, car Jésus ouvre désormais la page à un temps nouveau : celui du témoignage de sa résurrection qui sera transmis des chrétiens à ceux qui ne le connaissent pas encore.

Voilà pourquoi Jésus pose ici pour son royaume ce grand principe : Heureux ceux qui n’ont pas vu et qui ont cru ! La foi est, en effet, un acte moral de la conscience et du cœur, indépendant des sens ; tous les objets de la foi appartiennent au monde invisible ; l’Église chrétienne, depuis dix-neuf siècles, croit en Jésus-Christ et en sa résurrection sur ce même témoignage apostolique que Thomas récusait (comparez 1P 1:8). Quiconque fait dépendre sa foi de la vue, des sens, ou du raisonnement, l’expose à une désolante instabilité, puisque « les choses visibles ne sont que pour un temps et que les invisibles seules sont éternelle » (2Co 4:18). C’est pourquoi Jésus déclare heureux ceux qui croient en lui ; car la foi, en nous unissant à lui, nous met en possession des trésors de grâce, de paix, d’amour, de vie qui sont en lui et qui seuls constituent le vrai bonheur de l’âme humaine.

CONCLUSION

Il est temps que l’église soit guérie de ce conflit entre ses doutes et la Seigneurie de Jésus. Il est temps de reprendre le flambeau du témoignage, sans regarder à nous et à nos propres forces, si nous sommes prêts à cela ! Nos rencontres avec le Seigneur doivent déboucher par une profonde remise en question de nos enfermements et par un nouvel amour pour Lui !

Aujourd’hui, Dieu t’offre le choix de devenir un homme de doute ou un homme de foi ! Quel sera ton choix ? Alors… proclame-le !!!


©2023-04-14 – Albert Leclercq – Thomas, deviens un homme de foi ! –

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